Le Fri, 30 Jun 2023 13:37:09 +0200, tboudet--- via Tetalab <tetalab@tetalab.org> a écrit :
Même qu'on appellera ça un « BoufAIdou » parce que c'est porteur.
Je reste persuadé que la solution petite bonbonne + pompe de vélo reste la piste à suivre : autonome, pas de bruit, simple, facile à fabriquer et réparé, multi-usages.
Je me demandais un peu comment faire pour obtenir le composant d'interrupteur du flux d'air comprimé, qui alimenterait un dispositif directionnel maniable pour le flux d'air. Et je remarquait que les bouteilles de crème chantilly ont justement ce système de clapet qui se ferme automatiquement grâce à la pression de la bouteille. Le même que les briquets. Et dont l'ouverture est actionnée en compensant par pression sur l'embout, la force exercée par la pression du gaz. Les "interrupteurs" de bouteille de bouillie bordelaise étant une pièce qui sera probablement onéreuse, cela vaudrait la peine de trouver une alternative. Même si pour la bouillie il faut interrompre un fluide liquide, et non un fluide gazeux ,ce qui change la nature du problème. Et donc finalement, le dispositif qui permettrait d'imiter au mieux une bouteille d'airsec neuve, serait peut être la même bouteille d'airsec, épuisée, et regonflée. La solution la plus directe sera peut être donc de "regonfler" une bouteille d'airsec usagée. Un avantage étant que la bouteille étant métallique, sous sa couche de peinture, elle devrait présenter une bonne adhérence à de la colle époxy. Et donc, la réutilisation d'un embout de chambre à air, greffé à la colle époxy sur la bouteille, serait là aussi amplement justifiée, l'embout étant lui aussi métallique. Ce qui ne disqualifierait pas non plus l'utilisation d'une bouteille d'orangina additionnelle, comme réservoir secondaire.
Pour respecter nos engagements de préservation contextuelle de la destruction de la grouille sociétale actuelle, nous allons créer le comité « Soufflette 2030 » chargé d'une mission de conseil pour aider la transition structurelle. Le "numéro vert" sera communiqué ultérieurement.
J'ai vu qu'Orange organise des consultations citoyennes sur make.org. Ce serait peut être un exemple à suivre, pour amorcer un grand mouvement d'adhésion populaire à l'enthousiasme technofutile. En soufflant fort sur les structures contrariantes, l'innovation devient disruptive.